L’espèce ne fait pas l’objet de mesures de gestion particulières.
Modalités d’introduction en France et impacts documentés :
Asclepias syriaca peut parfois former des colonies importantes grâce à ses rejets souterrains dont l’impact sur la végétation indigène reste à préciser (Fried, 2012). Son latex est toxique pour les ovins, bovins et chevaux, et peut causer des allergies cutanées. Ses graines et ses rhizomes sont dispersés par les activités humaines (mouvement de terre, transport dans les véhicules, etc.). En Europe de l’Est, l’espèce a colonisé des terres agricoles sableuses (vignes, verges, orge, tournesol, colza) (OEPP, 2017).
Expériences de gestion :
Pas de retour d’expérience de gestion disponible actuellement.