L’espèce ne fait pas l’objet de mesures de gestion.
Modalités d’introduction en France et impacts documentés :
Le Chénopode fausse-ambroisie est en plante médicinale autrefois cultivée et utilisée comme vermifuge (Fried, 2012). Dysphania ambrosiodes est signalée en Grande-Bretagne en 1836. En France, les premières données d’observation datent de 1871, en région parisienne (SIFlore).
Le Chénopode fausse-ambroisie colonise surtout les berges exondées des rivières et les populations ne semblent jamais atteindre des densités très élevées. L’impact sur les espèces indigènes semble faible (Fried, 2012). Elle est néanmoins identifiée comme une adventice des cultures et des peuplements monospécifiques pourraient affecter les premiers stades de succession naturelle, en affectant la germination et l’établissement d’espèces pionnières indigènes (CABI, 2015).
Expériences de gestion :
Pas de retour d’expérience de gestion disponible actuellement.