Modalités d’introduction en France et impacts documentés :
L’espèce a été introduite pour l’ornement. Les premières mentions de l’espèce datent du XVIème siècle, sur le pourtour méditerranéen, dans le département du Var (SIFlore). Grâce à la production de rejets à partir de ses racines latérales proches de la surface du sol, le Faux-cotonnier peut former des peuplements denses et exclure localement les plantes indigènes par compétition. Présent sur la frange méditerranéenne, il peut se développer sur les berges de rivières et gravières (Fried, 2012). La plante est toxique pour le bétail et pour l’homme à cause du suc laiteux.
Expériences de gestion :
Pas de retour d’expérience de gestion connu actuellement.